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Qu’est ce qu’un conseiller en gestion de patrimoine ?

Dans un environnement fiscal et économique en constante évolution, vous êtes nombreux à vous poser des questions. Et vous cherchez à vous faire accompagner  pour structurer, valoriser et transmettre leur patrimoine. Le conseiller en gestion de patrimoine (CGP) répond à cette attente croissante en offrant une expertise transversale mêlant finance, droit, fiscalité, immobilier et stratégie patrimoniale. Sa mission est d’élaborer, avec chaque client, une stratégie sur mesure adaptée à ses objectifs et à sa situation personnelle.

Contrairement à une idée reçue, le CGP ne s’adresse pas exclusivement aux grandes fortunes. Jeunes actifs, professions libérales, entrepreneurs ou retraités peuvent bénéficier de ses conseils pour optimiser leur patrimoine à chaque étape de la vie.

Le rôle du conseiller en gestion de patrimoine

Le conseiller en gestion de patrimoine agit comme un architecte patrimonial chargé de concevoir et de mettre en œuvre une stratégie globale, durable et optimisée. Il prend en compte l’ensemble des aspects de la vie patrimoniale : épargne, fiscalité, retraite, succession, investissement, prévoyance etc.

Une approche multidisciplinaire

Le CGP dispose de compétences avancées dans de multiples disciplines :

  • Fiscalité : IR, IFI, plus-values, niches fiscales, etc.
  • Placements financiers : assurance-vie( françaises et luxembourgeoises), PEA, compte-titres (en france ou en Suisse), Private Equity (Capital-investissement en français) OPCVM, ETF, produits structurés...
  • Immobilier : investissement locatif, SCPI, Club Deals, défiscalisation, démembrement.
  • Droit patrimonial : régime matrimonial, transmission, donation.
  • Protection sociale : prévoyance, retraite, dépendance, invalidité.
  • Epargne Salariale
  • Ingénierie juridique et Fiscale : audit successoral, optimisation de la rémunération du dirigeant d’entreprise, montage en société holding etc.

Grâce à cette polyvalence, il peut construire une stratégie patrimoniale cohérente en fonction des objectifs de vie et de la tolérance au risque du client.

Le bilan patrimonial comme point de départ

La première étape de toute mission consiste à réaliser un bilan patrimonial complet. Il vise à analyser :

  • La structure des actifs (immobilier, financier, professionnel, etc.) ;
  • Les dettes et engagements ;
  • Le statut familial et professionnel ;
  • Les objectifs à court, moyen et long terme (préparer la retraite, transmettre, optimiser la fiscalité, etc.).

Ce diagnostic permet d’identifier les points forts et les axes d’amélioration pour orienter la stratégie globale.

Un accompagnement sur mesure

Le conseiller en gestion de patrimoine conçoit un plan d’action individualisé, tenant compte du profil de risque, de la situation fiscale et de l’horizon d’investissement de chaque client.

Optimisation fiscale

Le conseiller en gestion de  identifie les mécanismes permettant d’optimiser l’imposition en fonction de la composition des revenus et de la situation patrimoniale de son client.

Il peut ainsi recommander l’utilisation de dispositifs comme le Plan d’Épargne Retraite (PER) pour déduire les versements du revenu imposable, l’investissement dans des biens immobiliers défiscalisants (Pinel, Denormandie, Malraux, Monuments historique), ou encore dans des parts de PME via du private equity (captial investissement), des forêts (au travers de GFI) ou des projets en lien avec la finance durable et solidaire.

Le conseiller en gestion de patrimoine évalue également la pertinence de mécanismes permis par le code civil et/ou le code général des impôts comme le démembrement de propriété, le pacte dutreuil ou l’article 150 0 B Ter.

Pour les contribuables soumis à l’IFI, des stratégies de réduction ou de limitation de l’assiette imposable sont également étudiées. Cette approche personnalisée repose sur une parfaite connaissance de la fiscalité applicable et permet de transformer une charge fiscale en vecteur de valorisation patrimoniale. Le CGP joue ainsi un rôle d’interface stratégique entre l’univers fiscal et les objectifs patrimoniaux de son client.

Constitution et valorisation du patrimoine financier

Le CGP recommande des solutions adaptées :

  • Assurance-vie, contrat de capitalisation ou PERin multisupports pour concilier rendement et fiscalité avantageuse ;
  • SCPI de rendement ou fiscales, pour diversifier dans l’immobilier indirect ;
  • PEA ou Compte titre pour investir sur les marchés financier en actions (titres vifs), via des OPCVM ou des produits structurés;

Il propose un suivi régulier et dynamique du portefeuille pour en ajuster la répartition selon les marchés et les évolutions du client.

Préparer la transmission et protéger ses proches

L’accompagnement porte aussi sur :

  • L’anticipation successorale (donation-partage, assurance-vie, clause bénéficiaire démembrée, Pacte dutrueil) ;
  • La protection du conjoint ou des enfants ;
  • La gestion du risque d’invalidité, de décès ou dépendance (contrats de prévoyance).

Les profils concernés par l’accompagnement patrimonial

L’intervention d’un conseiller en gestion de patrimoine n’est pas réservée aux seuls contribuables les plus fortunés. En réalité, de nombreux profils peuvent tirer parti d’un accompagnement  pour optimiser leur situation fiscale, préparer l’avenir ou sécuriser la transmission de leurs biens. Le CGP s’adapte aux besoins spécifiques de chaque catégorie de clients selon leur âge, leur statut professionnel, leur niveau de patrimoine et leurs objectifs.

Vous êtes un particuliers

Si vosu êtes dans un de ces cas de figure ci-dessous, alors vous êtes susceptible de faire appel à un CGP :

  • Les actifs fortement fiscalisés, souvent situés dans les tranches marginales d’imposition élevées(30%, 41% ou 45%), qui cherchent à alléger leur charge fiscale annuelle à travers des dispositifs adaptés (PER, investissement locatif, défiscalisation, etc.) ;
  • Les jeunes couples ou familles en phase de constitution patrimoniale, qui souhaitent poser les bases d’une stratégie durable : achat de la résidence principale, épargne retraite, financement des études des enfants, 1er investissement locatif etc... ;
  • Les familles disposant déjà d’un patrimoine et désireuses de le structurer pour anticiper sa transmission, limiter les droits de succession ou protéger certains héritiers via des dispositifs juridiques ou assurantiels (donations, démembrements, assurance-vie, etc.).

Vous êtes un travailleurs non-salariés (TNS)

Les professions libérales, artisans, commerçants ou gérants majoritaires relèvent d’un régime social et fiscal spécifique qui nécessite une approche dédiée. Le CGP accompagne ces clients sur :

  • La constitution d’une retraite complémentaire, souvent faible dans ces statuts, à travers des dispositifs comme le PER individuel;
  • La protection sociale, incluant la couverture en cas d’arrêt de travail, invalidité ou décès, qui reste souvent insuffisante sans couverture complémentaire sur-mesure ;
  • La structuration de l’épargne excédentaire générée par l’activité, afin d’en optimiser le rendement tout en maîtrisant la fiscalité ;
  • L’organisation de la transmission du patrimoine professionnel (fonds, cabinet, parts de société) ou privé.
  • La mise en place de dispositifs d’Epargne salariale, pour travailler notamment sur l’optimisation de leur rémunération.

Vous êtes un chef d’entreprise

Les dirigeants de PME ou d’entreprises familiales sont confrontés à des problématiques patrimoniales complexes et interdépendantes entre la sphère privée et la sphère professionnelle. Le CGP peut intervenir sur :

  • L’optimisation des flux financiers entre l’entreprise et son dirigeant (rémunération, dividendes, Epargne salariale, conventions de trésorerie, holding patrimoniale, etc.) ;
  • La préparation à la cession de l’entreprise, notamment par la mise en place d’outils tels que le pacte Dutreil, les donations de titres ou les mécanismes de report d’imposition ;
  • La gestion de la trésorerie d’entreprise, en orientant vers des solutions de placement adaptées à l’horizon et au degré de liquidité souhaité, en cohérence avec les besoins de l’activité ;
  • La protection de la famille du dirigeant, souvent exposée aux aléas économiques ou juridiques liés à l’activité professionnelle.

Vous êtes retraité ou futur retraité

L’approche patrimoniale des seniors est axée sur la préservation du capital et la pérennité des revenus. À cette étape de la vie, le CGP aide à :

  • Optimiser les revenus complémentaires grâce à une stratégie d’arbitrage entre les différents placements : assurance-vie, SCPI, portefeuille d’actions ou de fonds, PER liquidé en capital ou rente ;
  • Anticiper les besoins futurs en dépendance ou en transmission, par exemple via la souscription de contrats de prévoyance ou l’adaptation de la clause bénéficiaire des contrats d’assurance-vie ;
  • Organiser la transmission du patrimoine de manière fiscalement optimisée, tout en préservant l’équité entre les héritiers et en limitant l’impact des droits de succession (donation de nue-propriété, création de SCI, pacte de famille, etc.).

Encadrement réglementaire strict

Le métier de conseiller en gestion de patrimoine (CGP) est fortement encadré par la loi. Cette régulation vise à assurer la compétence des professionnels, à protéger les épargnants et à instaurer une relation fondée sur la transparence, la responsabilité et l’éthique. Le CGP est donc tenu de respecter un ensemble d’obligations juridiques, déontologiques et professionnelles qui encadrent son activité, notamment lorsqu’il propose des services en investissement, en assurance ou en crédit.

Statuts légaux requis

Pour exercer en toute légalité, un CGP doit être enregistré auprès de plusieurs autorités et respecter différents statuts en fonction de la nature de ses missions :

  • ORIAS (Organisme pour le Registre unique des Intermédiaires en Assurance, Banque et Finance) : tout professionnel de la gestion de patrimoine doit figurer sur ce registre public. Il atteste que le CGP est autorisé à exercer certaines activités et possède les garanties requises.
  • CIF (Conseiller en Investissements Financiers) : ce statut est indispensable dès lors que le CGP délivre un conseil sur des produits financiers (actions, obligations, fonds, produits structurés…). Il doit être adhérent d’une association agréée par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF), comme la CNCGP, la CNCEF ou l’ANACOFI-CIF. Le statut de CIF impose une obligation de conseil, un devoir de vigilance, et des procédures de vérification de l’adéquation des produits recommandés avec le profil du client.
  • IAS (Intermédiaire en Assurance) : pour proposer des contrats d’assurance (assurance-vie, prévoyance, retraite, etc.), le CGP doit obtenir le statut d’IAS. Ce statut est également enregistré auprès de l’ORIAS et implique des compétences techniques et une connaissance approfondie des produits d’assurance.
  • IOBSP (Intermédiaire en Opérations de Banque et Services de Paiement) : ce statut permet de conseiller et d’intervenir dans le cadre de financements bancaires (crédit immobilier, regroupement de crédits…). Il est obligatoire pour accompagner les clients dans leurs démarches de souscription de prêt.

Chaque statut correspond à un domaine d’activité spécifique, et leur obtention nécessite une formation validante ainsi qu’un contrôle régulier des connaissances et de la pratique.

Formation continue

L’encadrement réglementaire prévoit également une obligation de formation continue pour les professionnels du patrimoine. Chaque année, un CGP doit suivre un minimum d’heures de formation pour maintenir ses compétences à jour dans ses différents domaines d’intervention (financier, juridique, fiscal, assurantiel…).

Cette obligation est essentielle dans un contexte où les lois fiscales évoluent rapidement, les produits financiers se complexifient, et les besoins des clients deviennent plus pointus. Elle garantit que le CGP dispose d’un niveau d’expertise toujours adapté pour prodiguer des conseils éclairés, pertinents et conformes à la réglementation.

Responsabilité civile professionnelle

Tout CGP doit obligatoirement souscrire une assurance de responsabilité civile professionnelle (RC Pro). Cette couverture a pour objet d’indemniser les clients en cas de faute, d’erreur, d’omission ou de conseil inadapté ayant causé un préjudice financier.

La RC Pro constitue une garantie de sécurité pour les clients. Elle est également un gage de sérieux et de professionnalisme pour le conseiller, qui s’engage ainsi à respecter un niveau élevé de rigueur et d’éthique dans son accompagnement.

En parallèle, le CGP est soumis à des obligations d’information, de transparence sur les frais, et de prévention des conflits d’intérêts. Il doit notamment remettre au client une lettre de mission claire, détaillant les prestations proposées, les modes de rémunération et les statuts légaux détenus.

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Rémunération et indépendance : comprendre le modèle économique

Le mode de rémunération d’un conseiller en gestion de patrimoine (CGP) est un élément essentiel à connaître pour comprendre sa démarche et garantir la transparence de la relation. Il influence en effet la manière dont les solutions sont proposées et l’éventuelle indépendance du conseil délivré. La réglementation impose une information claire, complète et préalable sur la nature des rémunérations perçues, afin d’éviter tout conflit d’intérêts et de protéger le client.

Types de CGP

On distingue généralement deux grandes catégories de conseillers :

  • CGP indépendant : ce professionnel exerce en toute liberté et sélectionne les produits les plus pertinents sur l’ensemble du marché, sans dépendance capitalistique vis-à-vis d’un établissement financier. Il est libre dans ses choix de partenaires (sociétés de gestion, assureurs, promoteurs) et sa priorité est l’intérêt du client. Il est rémunéré à 100 % par des honoraires de conseil et s’engage à ne percevoir aucune retrocommission de la part de quelconque établissement financier.
  • CGP non-indépendant : ce professionnel exerce aussi en toute liberté et sélectionne les produits les plus pertinents sur l’ensemble du marché, sans dépendance capitalistique vis-à-vis d’un établissement financier. Il est également libre dans ses choix de partenaires (sociétés de gestion, assureurs, promoteurs) et sa priorité est l’intérêt du client. En revanche, il a fait le choix d’être rémunéré par des retrocommissions et par pas des honoraires de conseil. Aussi, il ne peut pas, d’un point de vue règlementaire, se dire indépendant. Il n’en est pas moins objectif dans ses recommandations.
  • CGP rattaché ou salarié d’un établissement : il travaille pour le compte d’une banque, d’une compagnie d’assurance ou d’un groupe immobilier. Dans ce cadre, il propose exclusivement les produits maison ou ceux sélectionnés par la direction commerciale. S’il bénéficie d’une infrastructure solide, son périmètre d’intervention est plus limité, et le conseil peut parfois être influencé par les objectifs commerciaux de l’établissement.

Modes de rémunération

Un conseiller en gestion de patrimoine peut être rémunéré de trois manières, souvent combinées :

  • Honoraires : le client règle directement le conseil, la mission ou les prestations effectuées (bilan patrimonial, stratégie fiscale, suivi, etc.). Ce modèle est particulièrement transparent et renforce la relation de confiance, car le conseiller n’est pas intéressé par la vente d’un produit en particulier.
  • Commissions : lorsqu’un client souscrit à un produit (assurance-vie, SCPI, PER, OPCVM…), la société gestionnaire reverse une commission au CGP. Elle peut porter sur les frais d’entrée, de gestion ou de souscription. Cette pratique est encadrée par l’AMF, à condition qu’elle soit clairement expliquée au client dès le premier rendez-vous et qu’elle n’influence pas la qualité du conseil.
  • Rémunération mixte : la plupart des CGP combinent les deux modèles : une facturation d’honoraires pour certaines prestations (études patrimoniales, transmission, fiscalité…) et des commissions sur les produits distribués. Cette approche hybride peut être équilibrée à condition que l’intérêt du client reste prioritaire et que les sources de rémunération soient explicites.

💡 À noter : la lettre de mission, obligatoire, doit détailler l’ensemble des frais, les missions confiées, le mode de rémunération et les statuts légaux du conseiller. Elle constitue un contrat de transparence entre les deux parties.

Choisir un bon conseiller en gestion de patrimoine

Face à la diversité des professionnels présents sur le marché, il peut être difficile de faire le bon choix. Pourtant, sélectionner un conseiller en gestion de patrimoine (CGP) compétent et intègre est une étape cruciale pour garantir la pertinence et la sécurité des décisions patrimoniales. Voici les principaux critères à prendre en compte pour évaluer la fiabilité d’un professionnel et instaurer une relation durable et sereine.

Vérifier ses agréments et sa légitimité

Avant toute collaboration, il est impératif de s’assurer que le CGP dispose des statuts réglementaires requis pour exercer légalement. Les vérifications suivantes s’imposent :

  • ORIAS : le conseiller doit être inscrit sur le registre unique des intermédiaires, consultable librement sur www.orias.fr.
  • CIF (Conseiller en Investissements Financiers) : ce statut, encadré par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF), garantit une compétence dans le conseil en produits financiers. Il implique aussi une adhésion obligatoire à une association professionnelle agréée, comme la CNCGP, l’ANACOFI-CIF ou la CNCEF.
  • IAS (Intermédiaire en Assurance) : il permet de conseiller sur les contrats d’assurance-vie, de prévoyance ou de retraite.
  • IOBSP (Intermédiaire en Opérations de Banque et Services de Paiement) : ce statut est requis pour conseiller ou proposer des crédits (immobiliers, professionnels…).

Un CGP sérieux vous remettra spontanément un document d’entrée en relation et une lettre de mission, où figurent ces informations, ainsi que les modalités de rémunération.

Évaluer l’écoute et la pédagogie

Un bon CGP ne se contente pas de vendre des produits : il adopte une approche personnalisée fondée sur l’écoute active et la compréhension des besoins du client. Lors du premier entretien, soyez attentif à sa capacité à :

  • Poser les bonnes questions pour cerner votre situation familiale, patrimoniale, professionnelle et vos objectifs à court, moyen et long terme ;
  • Traduire des notions techniques en explications accessibles, sans jargon inutile ;
  • Proposer plusieurs pistes de solutions plutôt qu’un produit unique ;
  • Insister sur les risques autant que sur les avantages.

La pédagogie est un critère clé : un CGP compétent saura vous faire comprendre les enjeux des décisions proposées, en respectant votre profil et votre niveau de connaissance.

Se renseigner sur les références

Enfin, comme pour tout professionnel, il est utile de vérifier la réputation et les références du CGP :

  • Consultez les avis clients certifiés sur des plateformes fiables ;
  • Vérifiez son ancienneté, son historique d’activité et son ancrage local ou national ;
  • Demandez, si possible, des exemples de missions menées ou de cas similaires au vôtre (dans le respect de la confidentialité) ;
  • Assurez-vous qu’il n’impose pas de solutions fermées ou de partenaires exclusifs, sauf si cela est clairement justifié.

Évitez les professionnels trop insistants ou ceux qui occultent les frais, les risques ou refusent de formaliser les engagements par écrit. La relation de confiance repose sur la transparence, la rigueur et l’indépendance.

Conclusion

Le conseiller en gestion de patrimoine est un professionnel de confiance, dont l’expertise transversale permet de répondre aux enjeux complexes de la gestion privée. Son intervention est précieuse pour qui souhaite structurer son patrimoine, réduire sa fiscalité, protéger ses proches et transmettre dans les meilleures conditions.

Faire appel à un CGP, c’est investir dans un accompagnement global, indépendant et personnalisé. Cela permet de gagner en clarté, en efficacité et en sérénité face aux décisions financières et patrimoniales.

Souhaitez-vous un exemple de lettre de mission type ou un tableau comparatif des offres entre CGP indépendants et bancaires ?

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Questions fréquentes

Quels types de solutions propose Heilys ?

Heilys propose une approche globale de votre patrimoine, avec des solutions couvrant l’investissement immobilier (SCPI, LMNP, Malraux...), les actifs financiers (mandats, contrats d’assurance-vie, produits structurés), l’ingénierie fiscale et juridique, ainsi que l’accompagnement des chefs d’entreprise (rémunération, transmission, retraite).

Vos solutions sont-elles réservées aux très hauts patrimoines ?

Non. Nous accompagnons des profils variés : dirigeants, professions libérales, cadres supérieurs ou familles souhaitant structurer leur patrimoine avec méthode. Nos solutions sont personnalisées, quel que soit votre niveau de patrimoine, à partir du moment où une stratégie patrimoniale s’avère pertinente.

Proposez-vous des solutions indépendantes de tout organisme bancaire ?

Oui. En tant que cabinet indépendant, nous sélectionnons les solutions les plus adaptées à vos besoins auprès d’une large gamme de partenaires (sociétés de gestion, compagnies d’assurance, opérateurs immobiliers, etc.), sans lien capitalistique ni biais commercial.

Est-ce que Heilys m’aide à mettre en œuvre les solutions choisies ?

Absolument. Nous ne nous contentons pas de recommander : nous vous accompagnons à chaque étape, de la stratégie à la mise en œuvre opérationnelle, en coordination avec vos autres conseils (notaire, expert-comptable…). Et nous assurons un suivi dans la durée.